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Le blog d'un mec très gay

19 mai 2011

retour

Après plusieurs mois d'absence me voilà de retour parmis vous.

Il y a eu de nombreux changement dans ma vie depuis le mois de septembre dernier.

1- en Octobre j'ai rencontré le mec le plus formidable de la terre.

2- 1er déménagement sur la ville de Beauvais pour rejoindre l'homme de ma vie.

3- nouveau déménagement, toujours avec mon copain, pour la ville de Bordeaux.

 

Ce dernier déménagement ne s'est pas fait sans mal. D'abord mon copain a trouvé un job comme aide-soignant au CHU de Bordeaux. Il nous a donc fallu trouver un appartement en urgence puisqu'il a fini son travail en février à Beauvais et qu'il a commençait le 1er mars au CHU.

N'ayant pas trouvé avant le début de son nouveau boulot, nous avons réussi, en dernière minute, à trouver un collocation chez une dame un peu bizarre à Libourne (35-40km de Bordeaux) et dans le même temps on a fait de nombreux courriers pour un logement social et nous en avons obtenu un (grâce au soutien du maire de Bordeaux, monsieur Alain Juppé) début avril.

A partir de là on pensait que tout irait pour le mieux. Que nenni !!!! Alors que le 1er weekend d'avril était prévu pour le déménagement un souci avec le camion nous a empêché de le faire correctement. Depuis nous nous bagarrons avec la société qui nous a loué le dit camion défectueux pour se faire rembourser des frais que nous avons engagé.

Finalement la semaine suivante nous avons pu effectuer ce déménagement et depuis nous sommes chez nous avec nos meubles. Bon bien sûr tout n'est pas encore parfait car il nous manque quelques biens importants mais ça commence à prendre forme.

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30 septembre 2010

Concours Canalblog / Daylimotion

Un concours est organisé en collaboration entre Canalblog et Daylimotion.

Moi j'ai voté pour Kaboom un film de Gregg Araki qui sortira le 6 octobre prochain au cinéma.

A votre tour votez pour le film que vous attendez le plus parmi les 24 teaser proposés en allant à l'adresse suivante : http://www.dailymotion.com/hub/x81_votre-film-le-plus-attendu-de-la-re#videoId=xcd1sr

Un Ipad est a gagné.

Bon courage à tous.

12 septembre 2010

Claude Chabrol présente

Aujourd'hui à 12h25 j'appris le décès du très grand réalisateur Claude Chabrol à l'âge de 80 ans. Ci-dessous l'annonce faite sur le site ladepeche.fr

C'est d'abord l'adjoint au Maire de Paris, Christophe Girard, qui a annoncé la nouvelle sur son blog – une bien triste nouvelle confirmée un peu plus tard par une dépêche de l'AFP. Né le 24 juin 1930 à Paris, c'est à l'âge de 80 ans que Claude Chabrol nous a donc quittés ce matin, laissant derrière lui une filmographie pléthorique et quelques chefs d'œuvre.

Cet “immense cinéaste", pour reprendre les mots de Christophe Girard, est aux côtés de François Truffaut et Jean-Luc Godard l'une des figures de la nouvelle vague à la charnière des années 50 et 60. Cinéphile doté d'un humour noir à couper au couteau, féru de romans de la même couleur, il est de l'aventure des Cahiers du Cinéma. Après avoir produit son ami Jacques Rivette, il réalise son premier film, Le Beau Serge, en 1957.

Dès lors, il filme avec un œil implacable faits divers réels (Landru), et fictifs (Le Boucher), dérives sociétales (L'Ivresse Du Pouvoir), œuvres littéraires (Madame Bovary) ou polars décapants et déglingués (L'Inspecteur Lavardin). Metteur en scène à l'impertinence inépuisable, il a tourné avec les plus grands (de Brialy à Depardieu, en passant par Belmondo ou Poiret)  et aussi (surtout) sublimé les femmes, comme sa seconde compagne Stéphane Audran (avec qui il a tourné vingt-trois fois) ou Isabelle Huppert, révélée en 1978 dans son Violette Nozière.

À l'heure qu'il est, toutes nos pensées se dirigent vers les proches et la famille de Claude Chabrol.

2 juin 2010

Les décès du weekend

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Dennis Hopper

L'acteur et réalisateur américain, âgé de 74 ans, était atteint d’un cancer de la prostate.

L'acteur et réalisateur américain Dennis Hopper, qui avait notamment tourné Easy Rider, a succombé à un cancer de la prostate à 74 ans à son domicile de Venice en Californie, ont rapporté des médias américains samedi.

Selon le site internet TMZ.com, spécialisé dans l'actualité des stars, Dennis Hopper était entouré de sa famille au moment de son décès. Ses représentants n'étaient pas joignables dans l'immédiat.L'acteur avait révélé sa maladie à la fin de l'année dernière. Dennis Hopper avait fait sa dernière apparition publique le 26 mars pour recevoir son étoile sur le "Boulevard de la gloire" à Los Angeles. Il avait paru très affaibli par la maladie.

Easy Rider, Apocalypse Now...

Né le 17 mai 1936 au Kansas, celui qui a débuté aux côtés de James Dean et Peter Fonda et tourné sous la direction de Francis Ford Coppola a dénoncé le rigorisme de cette arc-boutée sur ses principes. Tout d'abord dans La fureur de vivre et Géant, dans lesquels il fait ses débuts aux côtés d'une de ses idoles, James Dean, qui incarne le mal-être de la jeunesse. Ensuite, après plus d'une centaine de rôles de séries télévisées, dans Easy Rider en 1969 dans lequel il campe avec Peter Fonda un duo de motards autant mordus de bitume que de drogue.

Cette peinture des errances de la Woodstock Generation vaut à Dennis Hopper le Prix de la première oeuvre au Festival de Cannes. Point d'orgue de cette décennie mouvementée : Apocalypse Now de Francis Ford Coppola, où il joue le rôle d'un photographe hallucinant et halluciné. 

Les années drogue

Mais les années 1970 le voient sombrer dans l'alcool et la drogue. En 1986, après des années d'errance, David Lynch le met en scène dans Blue Velvet puis il apparaît dans Le Grand Défi (Hoosiers) aux côtés de Gene Hackman, dans le rôle d'un alcoolique.

Ce film lui vaudra une nomination aux Oscars dans la catégorie "Meilleur second rôle" :

Dennis Hopper était également un peintre, dans la veine du "Pop art" d'Andy Warhol, mais également inspiré de l'impressionisme. A contre-courant du Tout Hollywood largement acquis aux démocrates, il a toujours clamé son attachement au parti républicain mais s'est publiquement prononcé pour Barack Obama, lors de la dernière campagne présidentielle.

En octobre 2008, à l'occasion du vernissage de l'exposition "Dennis Hopper et le Nouvel Hollywood" à la Cinémathèque française à Paris, Christine Albanel, alors ministre française de la Culture, l'avait fait commandeur dans l'ordre national des Arts et des Lettres. Le 26 mars 2010, il avait reçu son étoile sur le fameux "Walk of Fame" d'Hollywood Boulevard. Accompagné des acteurs Viggo Mortensen et Jack Nicholson, Dennis Hopper était apparu amaigri, épuisé par son cancer.

(source : Europe1.fr)

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Gary Coleman

Willy a perdu sa moitié. Gary Coleman, éternellement et mondialement connu pour avoir joué Arnold dans la série «Arnold et Willy», est décédé vendredi à 12h05 locales (20h05 en France) des suites d'une hémorragie cérébrale, a annoncé son agent, John Alcantar. Son épouse a pris la décision de lui «retirer l’assistance respiratoire, et peu de temps après, il est parti rapidement et sereinement», a-t-il précisé. «Sa femme et d'autres membres de sa famille proche étaient à son chevet.» L’acteur était âgé de 42 ans.

Gary Coleman avait été hospitalisé d’urgence, jeudi soir, et dans un état critique, dans un centre médical de l’Utah. Mais hier, son entourage ne souhaitait pas se prononcer sur les raisons de son hospitalisation. Seul son beau-frère avait évoqué, sur le site TMZ, une grave chute à son domicile de Santaquin, dans l’Utah. Il avait été hospitalisé «lucide et conscient», mais son état s’était «soudainement aggravé» vendredi.

Le revers de la célébrité fulgurante

Star précoce des années 1980, Gary Coleman avait connu une accession fulgurante à la notoriété à l’âge de 11 ans grâce à son personnage d’Arnold Jackson, fils adoptif d'un riche New-Yorkais. Mais après la fin de la série, diffusée dans le monde entier entre 1978 et 1986, l’acteur n’a plus retrouvé de rôle aussi prestigieux et a connu une descente aux enfers –à l’instar d’ailleurs de ses anciens collègues, Dana Plato, alias Virginia, décédée d'une overdose en 1999, et de Todd Bridges, son acolyte Willy, qui a longtemps fréquenté les tribunaux pour ses problèmes de drogue et de violence.

En 1989, le comédien a engagé des poursuites contre ses parents et son ancien agent pour mauvaise gestion de ses finances. (Au pic de sa carrière, Coleman touchait 100 000 dollars par épisode, soit environ 200 000 euros d'aujourd'hui. Au total, il aurait amassé puis perdu une fortune de quelque 18 millions de dollars.) En 1998, il a été inculpé d'agression après avoir frappé une femme qui lui demandait un autographe. En 2008, sa femme Shannon Price (épousée l’année précédente, un an après l’avoir rencontré sur un plateau de tournage) l’a poursuivi pour violences conjugales, puis à nouveau en janvier dernier. Il avait même séjourné quelques jours en prison avant de s'acquitter d'une caution de 1720 dollars pour recouvrer la liberté. Mais son épouse continuait de partager sa vie malgré tout. Elle était à ses côtés ces derniers temps quand il a connu plusieurs problèmes de santé –il aurait fait deux attaques en janvier et février dernier. Elle l’était encore quand il a succombé à son hémorragie intracrânienne. «Nous sommes très reconnaissants pour tout le merveilleux soutien exprimé à la famille de Gary. Des milliers d'e-mails ont afflué à l'hôpital. Cela a été vraiment réconfortant pour la famille de savoir à quel point il était aimé, et il l'est toujours», a-t-elle déclaré dans un communiqué.

(source parismatch.com)

2 juin 2010

Le palmares officiel de Cannes 2010

Voici le palmares officiel du 63e festival de Cannes 2010

Longs métrages

Courts métrages

Un Certain Regard

Cinéfondation

Caméra d'or

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23 mars 2010

oscars 2010

troph_e_des_oscar

Voici les vainqueurs de la 82e cérémonie des Oscars 2010 (en gras) animé par Laurent Weil, Didier Allouch et Luc Besson qui a eu lieu dans la nuit du 7 au 8 mars dernier (désolé bien qu'ayant suivi la cérémonie j'ai pas trop eu le temps de le mettre plus tôt)

Meilleur film
A Serious Man de Joel et Ethan Coen
Avatar de James Cameron
Démineurs de Kathryn Bigelow

District 9 de Neill Blomkamp
In the Air de Jason Reitman
Inglourious Basterds de Quentin Tarantino
Là-haut de Pete Docter
Precious de Lee Daniels
The Blind Side de John Lee Hancock
Une éducation de Lone Scherfig

Meilleur réalisateur
Kathryn Bigelow pour Démineurs

James Cameron pour Avatar
Lee Daniels pour Precious
Jason Reitman pour In the Air
Quentin Tarantino pour Inglourious Basterds

Meilleure actrice
Sandra Bullock dans The Blind Side
Helen Mirren dans The Last Station
Carey Mulligan dans Une éducation
Gabourey Sidibe dans Precious
Meryl Streep dans Julie & Julia

Meilleur acteur
Jeff Bridges dans Crazy Heart
George Clooney dans In the Air
Colin Firth dans A Single Man
Morgan Freeman dans Invictus
Jeremy Renner dans Démineurs

Meilleure actrice dans un second rôle
Penélope Cruz dans Nine
Vera Farmiga dans In the Air
Maggie Gyllenhaal dans Crazy Heart
Anna Kendrick dans In the Air
Mo'Nique dans Precious

Meilleur acteur dans un second rôle

Matt Damon dans Invictus
Woody Harrelson dans The Messenger
Christopher Plummer dans The Last Station
Stanley Tucci dans Lovely Bones
Christoph Waltz dans Inglourious Basterds

Meillleur scénario adapté

Neill Blomkamp et Terri Tatchell pour District 9
Jason Reitman et Sheldon Turner pour In the Air
Jesse Armstrong, Simon Blackwell, Armando Iannucci et Tony Roche pour In the Loop
Geoffrey Fletcher pour Precious
Nick Hornby pour Une éducation

Meilleur scénario original
Mark Boal pour Démineurs
Quentin Tarantino pour Inglourious Basterds
Bob Peterson, Pete Docter, Story by Pete Docter, Bob Peterson et Tom McCarthy pour Là-haut
Alessandro Camon et Oren Moverman pour The Messenger
Joel et Ethan Coen pour A Serious Man

Meilleur film d'animation
Brendan et le secret de Kells de Tomm Moore
Coraline
d'Henry Selick
Fantastic Mr. Fox de Wes Anderson
Là-haut de Pete Docter

La Princesse et la Grenouille de John Musker et Ron Clements

Meilleur film en langue étrangère
Ajami de Scandar Copti et Yaron Shani (Israël)
Dans ses yeux de Juan José Campanella (Argentine)

Fausta de Claudia Llosa (Pérou)
Le Ruban blanc de Michael Haneke (Allemagne)
Un prophète de Jacques Audiard (France)

Meilleur documentaire
Burma VJ d'Anders Østergaard et Lise Lense-Møller
The Cove, la baie de la honte de Louie Psyhoios

Food, Inc. de Robert Kenner et Elise Pearlstein
The Most Dangerous Man in America: Daniel Ellsberg and the Pentagon Papers de Judith Ehrlich et Rick Goldsmith
Which Way Home de Rebecca Cammisa

Meilleure musique
James Horner pour Avatar
Marco Beltrami et Buck Sanders pour Démineurs
Alexandre Desplat pour Fantastic Mr. Fox
Michael Giacchino pour Là-haut
Hans Zimmer pour Sherlock Holmes

Meilleure chanson
Almost There extrait de Le Princesse et la Grenouille par Randy Newman
Down in New Orleans extrait de Le Princesse et la Grenouille par Randy Newman
Loin de Paname extrait de Faubourg 36 par Reinhardt Wagner et Frank Thomas
Take It All extrait de Nine par Maury Yeston
The Weary Kind (Theme from Crazy Heart) extrait de Crazy Heart par Ryan Bingham et T Bone Burnett


Meilleure photographie
Mauro Fiore pour Avatar

Barry Ackroyd pour Démineurs
Bruno Delbonnel pour Harry Potter et le Prince de sang-mêlé
Robert Richardson pour Inglourious Basterds
Christian Berger pour Le Ruban blanc

Meilleurs décors
Rick Carter, Robert Stromberg et Kim Sinclair pour Avatar
Dave Warren, Anastasia Masaro et Caroline Smith pour L'Imaginarium du Docteur Parnassus
John Myhre et Gordon Sim pour Nine
Sarah Greenwood et Katie Spencer pour Sherlock Holmes
Patrice Vermette et Maggie Gray pour Victoria, les jeunes années d'une reine

Meilleur montage
Stephen Rivkin, John Refoua et James Cameron pour Avatar
Bob Murawski et Chris Innis pour Démineurs
Julian Clarke pour District 9
Sally Menke pour Inglourious Basterds
Joe Klotz pour Precious

Meilleur mixage sonore
Christopher Boyes, Gary Summers, Andy Nelson et Tony Johnson pour Avatar
Paul N.J. Ottosson et Ray Beckett pour Démineurs
Michael Minkler, Tony Lamberti et Mark Ulano pour Inglourious Basterds
Anna Behlmer, Andy Nelson et Peter J. Devlin pour Star Trek
Greg P. Russell, Gary Summers et Geoffrey Patterson pour Transformers 2 : la revanche

Meilleur montage sonore
Christopher Boyes et Gwendolyn Yates Whittle pour Avatar
Paul N.J. Ottosson pour Démineurs
Wylie Stateman pour Inglourious Basterds
Michael Silvers et Tom Myers pour Là-haut
Mark Stoeckinger et Alan Rankin pour Star Trek

Meilleurs effets visuels
Joe Letteri, Stephen Rosenbaum, Richard Baneham et Andrew R. Jones pour Avatar
Dan Kaufman, Peter Muyzers, Robert Habros and Matt Aitken pour District 9
Roger Guyett, Russell Earl, Paul Kavanagh and Burt Dalton pour Star Trek

Meilleur maquillage
Aldo Signoretti et Vittorio Sodano pour Il Divo
Barney Burman, Mindy Hall et Joel Harlow pour Star Trek
Jon Henry Gordon aet Jenny Shircore pour Victoria, les jeunes années d'une reine

Meilleurs costumes
Janet Patterson pour Bright Star
Catherine Leterrier pour Coco avant Chanel
Monique Prudhomme pour L'Imaginarium du Docteur Parnassus
Colleen Atwood pour Nine
Sandy Powell pour Victoria, les jeunes années d'une reine

Meilleur court métrage

The Door de Juanita Wilson et James Flynn
Instead of Abracadabra de Patrik Eklund and Mathias Fjellström
Kavi de Gregg Helvey
Miracle Fish de Luke Doolan et Drew Bailey
The New Tenants de Joachim Back et Tivi Magnusson


Meilleur court métrage documentaire
China's Unnatural Disaster: The Tears of Sichuan Province de Jon Alpert et Matthew O'Neill
The Last Campaign of Governor Booth Gardner de Daniel Junge et Henry Ansbacher
The Last Truck: Closing of a GM Plant de Steven Bognar et Julia Reichert
Music by Prudence de Roger Ross Williams et Elinor Burkett

Rabbit à la Berlin de Bartek Konopka and Anna Wydra

Meilleur court métrage animé
French Roast de Fabrice O. Joubert
Granny O'Grimm's Sleeping Beauty de Nicky Phelan et Darragh O'Connell
The Lady and the Reaper (La Dama y la Muerte) de Javier Recio Gracia
Logorama du collectif H5

A Matter of Loaf and Death de Nick Park

4 mars 2010

Voici l'heure des Cesar 2010

Le Palmares complet de la 35e cérémonie des César 2010 Présidée par Valérie Lemercier et Gad Elmaleh

Meilleur acteur : Tahar Rahim pour Un Prophète

Meilleure actrice : Isabelle Adjani dans La journée de la jupe

Meilleur acteur dans un second rôle : Niels Arestrup pour Un Prophète

Meilleure actrice dans un second rôle : Emmanuelle Devos pour A L'Origine

Meilleur espoir masculin : Tahar Rahim pour Un Prophète

Meilleur espoir féminin : Melanie Thierry dans Le dernier pour la route

Meilleur scénario original : Jacques Audiard , Abdel Raouf Dafri , Nicolas Peufaillit et Thomas Bidegain pour Un Prophète

Meilleure adaptation : Stéphane Brizé et Florence Vignon pour Mademoiselle Chambon

Meilleure musique : Armand Amar pour Le Concert

Meilleur son : Bruno Tarrière, Pierre Excoffier et Selim Azzazi pour Le Concert

Meilleurs décors : Michel Barthélémy pour Un Prophète

Meilleurs costumes : Catherine Leterrier pour Coco avant Chanel

Meilleure photo : Stéphane Fontaine pour Un Prophète

Meilleur montage : Juliette Welfing pour Un Prophète

Meilleur réalisateur : Jacques Audiard pour Un Prophète

Meilleur court-métrage : C'est gratuit pour les filles de Claire Burger et Marie Amachoukeli

Meilleur premier film : Les beaux gosses

Meilleur film documentaire : L'enfer d'Henri-Georges Clouzot de Serge Bromberg

Meilleur film étranger : Gran Torino de Clint Eastwood

Meilleur film : Un Prophète de Jacques Audiard

(source : premiere.fr)

24 janvier 2010

Palmares golden globes 2010

Voici le palmares de la 67e cérémonie des Golden Globes qui a eu lieu le 17 janvier 2010

Meilleur film :

Avatar

Meilleur comédie :

Very Bad Trip

Meilleur réalisateur :

James Cameron

Meilleur scénario :

In the Air

Meilleur acteur :

Jeff Bridges

Meilleur acteur dans une comédie :

Robert Downey Jr

Meilleur actrice :

Sandra Bullock

Meilleure actrice dans une comédie :

Meryl Streep

Meilleur second rôle masculin :

Christoph Waltz

Meilleur second rôle féminin :

Mo'nique

Meilleure bande-originale :

Là-haut

Meilleure chanson originale :

Crazy Heart

Meilleur film en langue étrangère :

Le Ruban blanc

Meilleur film d'animation :

Là-haut

Cécile B. DeMille Award :

Martin Scorsese pour l'ensemble de sa carrière

20 janvier 2010

Disparition sur M6

20579

Cathy Sarraï ou Kalthoum Sarrai, alias Super Nanny, est décédée des suites d'un cancer des poumons.

Agée de 47 ans, celle qui enseignait aux parents différentes techniques d'éducation et qui était connue pour son approche douce mais ferme, a rendu son dernier souffle après s'être longuement battue contre cette douloureuse maladie.

Cette animatrice de télévision tuniso-française née dans une famille de sept frères et soeurs, et maman de trois enfants, était arrivée en France en 1979, où elle avait décroché un certificat d'aptitude professionnelle de la petite enfance et un diplôme d'auxiliaire puéricultrice.

C'est en 2005 que Cathy - qui fut fiancée à quatorze ans et mariée à seize ans à un homme qu'elle ne connaissait pas -, avait revêtu l'uniforme de Super Nanny sur M6, la nounou la plus célèbre du PAF. Toujours prête à donner de son temps afin d'aider des couples à se positionner au sein d'une tribu parfois agitée et têtue, la blonde aux lunettes sévères mais au sourire communicatif était une figure très populaire. De nombreux téléspectateurs, admiratifs de son savoir faire, était friands du programme qu'elle animait.

Passionnée cette dernière soutenait également, hors caméras, des particuliers ayant des difficultés avec leurs enfants, tout en s'impliquant dans des actions de coaching. Récemment, outre ses apparitions sur la chaîne privée (voir vidéo), elle avait participé l'an dernier au clip de Berlin, du chanteur Christophe Willem.

(Source : Yahoo.com)

11 janvier 2010

La chanson perd un grand artiste

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Auteur, compositeur, interprète, mais aussi peintre, écrivain, poète et porte-parole officieux des délaissés, l'artiste français Mano Solo est décédé hier matin à Paris, à l'âge de 46 ans. Il était aux soins intensifs depuis son dernier concert à l'Olympia, le 12 novembre dernier. Atteint du sida depuis presque 25 ans, le chanteur à la voix intense, aux chevrotements distinctifs et aux textes percutants aurait succombé des suites de plusieurs anévrismes.

C'est sa mère, Isabelle Monin, journaliste et écologiste de la première heure, qui a livré hier la nouvelle aux fans de Mano Solo, sur le babillard du site manosolo.net. «Il ne viendra plus. Il ne viendra plus nous invectiver. Il ne viendra plus nous encourager. Il ne viendra plus nous donner tout ce qu'il avait: son talent, sa forme, son élan, sa générosité», a-t-elle écrit.

Fils de militants - son père, Cabu, est un dessinateur et caricaturiste engagé -, Mano Solo choisit tôt la vie de galère, abandonnant l'école à 15 ans, plongeant dans le punk dès l'adolescence. Guitariste pour le groupe Les Chihuahuas, puis pour le groupe La Marmaille nue (aussi titre de son premier album et nom de sa maison d'édition), Mano Solo dessine également et expose ses toiles.

En 1993 paraît l'album La Marmaille nue. Le succès est immédiat. Le personnage est frêle, mais sa rage intérieure en impose. Ses textes traitent d'injustice sociale, de misère et d'espoir, de drogue (Au creux de ton bras) et de sa maladie, le sida, qu'il contracte en 1986 et dont il parle sans tabou, sur scène comme en entrevue.

Son oeuvre reste collée à la grande tradition de la chanson française classique, mais son énergie, ses interprétations, sont radicalement, furieusement punk. Ses arrangements portent des traces de musique d'Afrique, de tango aussi, style musical qui ennoblit cette douleur au coeur des compositions de Mano Solo.

Son deuxième album, Les Années sombres, paraît en 1995. Disque tout aussi tragique que le premier, il confirme le talent, d'auteur et d'interprète, de Mano Solo. Le succès est encore plus important qu'en 1993. Sur la scène du Bataclan, en octobre 1995, il déclare: «J'ai deux nouvelles, une bonne et une mauvaise. La bonne, c'est que je ne suis plus séropositif. La mauvaise, c'est que j'ai le sida!»

Les FrancoFolies de Montréal, qui l'avaient accueilli en 1994, le réinvitent en 1996. La maladie l'affecte; les joues creuses, les cheveux en brosse, il est contraint de donner son concert au Spectrum assis sur un tabouret, une canne à ses côtés. L'accueil du public québécois est délirant. À la même époque, il publie un recueil de poèmes (Je suis là) et un roman (Joseph sous la pluie).

Mano Solo reviendra une troisième et dernière fois au Québec en 2000, toujours à l'invitation des FrancoFolies, pour promouvoir l'album Dehors, considéré par plusieurs comme le plus abouti de sa discographie. Sur scène, il a meilleure mine, la trithérapie qu'il suit lui réussit. À La Presse, il confie: «Je suis un personnage beaucoup moins noir que ce qui transpire de mes disques. Je n'ai jamais été désespéré. On ne peut se battre quand on est désespéré. C'est toujours les autres qui me voient désespéré. Moi, je suis plein d'espoir.»

Depuis cette dernière visite, Mano Solo fut presque oublié de ce côté-ci de l'Atlantique, mais il poursuivait en France sa carrière musicale et ses combats. Ses disques des années 2000 seront plus sereins, moins obnubilés par la mort et sa maladie, et musicalement plus diversifiés.

Plus sereins, mais toujours aussi engagés: dans sa vie musicale et publique, il s'est battu pendant une décennie, contre la maladie, d'abord, mais pour les autres, aussi. Il s'implique dans une collecte de fonds pour venir en aide aux Malgaches, et anime, dès 2007, une émission de radio, Le Clou de la soirée (sur Aligre FM 93,1), durant laquelle il «donne la parole à ceux qui ne l'ont pas».

Le legs de Mano Solo à ses fans est constitué de sept albums solo (trois d'entre eux ont été certifiés disque d'or en France), deux albums live et un disque enregistré avec les Chihuahuas, Frères Misère (1996). Son plus récent album, Rentrer au port, est paru en septembre dernier.

(Source : cyberpresse.ca)

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